Votre couple est en crise, vous êtes dans une impasse, il y a un problème de communication, des tensions, vous êtes en opposition, cela se répète, vous ne trouvez pas de solution, cette répétition vous exaspère, vous met en colère, vous aimeriez un changement.
L’espace thérapeutique peut permettre à chacun d’exprimer ses souffrances et ses attentes, et conduire, en commun, une réflexion autour de la relation de couple et de la crise, inscrites dans une histoire familiale.
Ici aussi, la demande est fondamentale. Qu’est-ce que chaque membre du couple souhaite-t-il ? Désire t-il ? Qu’est-ce que chacun attend de la thérapie ? Si demande de thérapie, il y a, c’est qu’avant d’en arriver à cela, le couple, les sujets du couple auront tenté d’apporter des réponses qui auraient dû permettre d’apaiser les tensions que le couple rencontre, traverse. La proposition d’une forme de solution de l’un, n’est pas forcément acceptée par l’autre. Ainsi, l’opposition, souvent associée à l’incompréhension, perdure. Le temps thérapeutique peut permettre ces mises en commun de temps, actions, propos différents. Ce n’est pas le psychothérapeute qui dira à chacun ce qu’il devra faire. Ma fonction est de mettre en relation, en synergie, la manière dont la communication, la perception, le non-dit de chacun, peut provoquer comme effet, tant à soi, qu’à l’autre. Comment alors ne pas perdre la face dans une telle opposition ? C’est ce travail de réflexion, d’accompagnement et de mise en œuvre que je propose, pour répondre à la demande individuelle, et à celle du couple.
Votre famille est en souffrance, vous ne comprenez pas ce qui se passe, votre adolescent ne vous écoute plus, il s’enferme dans sa chambre, ne travaille plus à l’école, refuse de partager les repas familiaux. Un deuil, une séparation, une maladie, cela affecte les relations familiales, la douleur grandit, la tristesse est latente, la colère s’installe.
La thérapie familiale peut permettre de répondre à ces problématiques, sur la base d’une réflexion commune, et d’envisager ensemble comment le système peut changer.
Pour faire simple, je pars du symptôme. Dans une famille, mais aussi dans un couple, et aussi individuellement, le symptôme a un sens, du sens. Que signifie-t-il ? A qui signifie-t-il ? Est-il perçu de la même manière par chacun ? Souvent, cette question du symptôme s’adresse aux parents, à l’un des parents, aux grands-parents. L’écrire comme cela, c’est aussi parler du génogramme, de l’histoire de la famille sur trois voire quatre générations. Evoquer l’histoire, n’est pas la question de la critique de la famille ; le seul qui peut en dire quelque chose, est celui qui a vécu, ce qu’il a vécu, et lui seul, et uniquement lui, peut s’exprimer, même si d’autres, n’ont n’en pas la même perception, le même ressenti, la même relation. La thérapie familiale interroge entre autres cette question, mais aussi celle de la reproduction ou de la production familiale. C’est aussi permettre au système de trouver des solutions ; ce qui revient à dire : trouver sa place, que chacun retrouve sa place, en sachant que cette dernière évolue, se modifie et interroge. Le travail est de comprendre cela.
Pour les professionnels, dans un cadre individuel ou collectif, je propose un accompagnement à l’étude de situations, et également, une aide à l’analyse de la pratique professionnelle.
Je propose un travail psychothérapeutique articulé autour de trois notions, deux sont théoriques et la troisième s’apparente à une idée humaniste, qui consiste à partager l’idée de la connaissance. La psychothérapie, que je propose, est avant tout, un lieu de liberté, de confidentialité et de non jugement. Formé à l’IDES, pendant quatre années, l’Institut Des Etudes Systémiques à Metz et Paris, dirigé par Jean-Paul Mugnier, j’ai également obtenu le titre de psychothérapeute, en suivant une formation de deux ans à l’EPHEP, Ecole Pratique des Hautes Etudes en Psychopathologies, à Paris, dont le doyen est Charles Melman. L’analyse systémique et l’approche psychanalytique ne sont pas en opposition, mais bien complémentaires, pour répondre à des questions, des problèmes, des manifestations, d’ordre psychologique, tels que la rupture, le conflit, la dépendance, la dépression, le surmenage au travail, appelé aussi burnout, sans oublier la question du symptôme, de la maladie et du comportement. Faire le pas de demander de l’aide ou de s’adresser à un professionnel n’est jamais chose facile Aussi, j’espère que cette présentation succincte, vous apportera un éclairage sur mes champs de compétence. Si vous avez des questions, des remarques, des réflexions, ou plus simplement, si vous souhaitez être reçu(e, s), cela se fait sur rendez-vous.
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A partir du 1er septembre 2023
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